الحمد لله الصلاة والسلام على رسول الله
أما بعد
أما بعد
Tous ceux qui ont suivi le cours de cette fitnah, qui a divisé les rangs des salafis dans le monde entier durant ces dix dernières années, avec équité, science et crainte dAllâh, ont bien compris que tout ce soulèvement contre la dawah de Dammâj ne fut basé que sur des fausses alliances en vue daboutir à un seul et même objectif; tout cela à la manière des hommes politiques.
Ils se sont tous alliés les uns aux autres, se défendant les uns les autres, se soutenant les uns les autres, cachant mutuellement leurs erreurs et suivant la règle des ikhwan « on sentraide dans ce dans quoi nous sommes daccords et on sexcuse les uns les autres sur ce sur quoi nous divergeons ».
Tous daccords pour tenter de faire tomber la dawah émanant de Dammâj et à sa tête cheikh Yahyâ al Hajoûri. Tout en renfermant maintes divergences internes, connaissant parfaitement les fautes les uns des autres et en parfaite connaissance de cause de ce qui leur fut scientifiquement reproché en religion, mais ils continuèrent à garder le silence par application de la fameuse règle (qui peut être vraie si elle est utilisée légitimement) "lunion fait la force".
À savoir que cheikh Yahyâ et ses tullâb les conseillaient et les mettaient en garde contre certains individus (ces saâfiqah actuels) en vue déteindre cette fitnah et de garder les rangs soudés sur la vérité sur une dawah unique bien que ceux-ci sacharnaient à les défendre en toute injustice, en accusant les gens de Dammâj de dire du mal des savants et des salafis. Al adani et son frère, al Wasâbi, al imam et son livre al ibânah et autres erreurs, Arafâte, Hâni Ibn Boureyk, Moustafa Mabram, Ali al Houdheyfi et bien dautres parmi les hizbis et maftoûns du Yémen (et dautres à létranger) ayant soutenu al Adani dans sa fitnah.
Puis, simaginant être parvenus à leurs fins, ils se mirent finalement à mettre en garde contre tous les macheikhs du Yémen, leur reprochant ce que les gens de Dammâj leur avaient déjà reproché, ce même pour quoi ils les défendaient.
Puis vînt le tour dautres intervenants qui à la base nétaient pas concernés mais ont voulu soutenir fanatiquement cette hizbiyah à linstar dAhmed Bazmoûl, Ousâmah al Outeybi, Mâher al Qahtâni et peut-être dautres qui finirent par avoir droit au délaissement et aux mises en garde par ceux qu'ils supportaient.
Puis dernièrement la série des règlements de compte internes se poursuivit par la soudaine intervention officielle de cheikh Mohammed Ibn Hâdi, dont on entendait depuis certains temps des mises en garde en privé contre certains de ceux (comme Arâfate et tout le groupe de ceux qui sont autour du docteur Rabî' al Madkhali) auxquels lui et d'autres savants de la sounnah furent auparavant conseillés de prendre garde et de ne pas prêter oreille aux mensonges et autres colportages, conseil quil refusa de suivre.
Cheikh Mohammed Ibn Hâdi sortit dernièrement un long audio disant qu'il était temps pour lui de sortir de son silence (https://e.top4top.net/m_7189z0m41.m4a), dans lequel il cita certains faits et voulu dévoiler les actes de ce groupuscule quil nomma les «saâfiqah الصعافقة»
(le safaq ou sa'foûq:sing; cest celui qui se rend dans les marchés pour vendre les mains vides de marchandise avec lui et tente de se mêler aux ventes des autres pour en tirer quelque profit).
Pour résumer, dans cet audio il dit quil compte faire une série dallocutions dans son masjid dans lesquelles il dévoilera en détail les agissements malfaisants et autres conspirations de ces saâfiqah, un par un, quil qualifie de menteurs trompeurs et dimposteurs.
- Il dit que ces gens furent dévoilés par les messages quils senvoient (en privé apparemment) à travers les réseaux sociaux
- Il commença par Abbas Jawwânah (du Yémen, anciennement défenseur dal Adani et fauteur de troubles dans la dawah), en commentant une de ses paroles où il fait part de son étonnement face à ceux qui défendent Mohammed Ibn Hâdi dans ses critiques sur «les saâfiqah» (étant donné que Oubeyd al Jâbiri et autres défendent ces individus, et quil dit aux gens de ne pas être trompé par Mohammed ibn Hâdi et de ne pas prêter attention à ses paroles).
De là Ibn Hâdi le réfuta en lui disant : pourquoi être surpris de ceux qui me défendent alors que je parle avec preuve, et parallèlement ne pas être surpris de ceux qui défendent Hâni Ibn Boureyk qui est sorti ouvertement contre le gouverneur?
Il cita parmi ceux qui défendent Hâni Ibn Boureyk : Abdoullah adh Dhafîri ibn silfîq, quil qualifia de menteur en citant le fait que lui et ses alliés propagent que Oubeyd et le docteur al Madkhali eux aussi défendent Ibn Boureyk alors que le docteur a tenu dautres paroles connues quils ne disent pas aux gens.
Il dit que la dernière parole de Oubeyd al Jâbiry sur Ibn Boureyk est fausse et que sa première parole était la bonne (lorsquil mit en garde et désavoua Ibn Boureyk).
Il critiqua Nizâr ibn Hâchim as soûdâni en disant que ce dernier lui a écrit une nasîhah diffusée en publique décrite par adh Dhafîri comme étant véridique, scientifique et de bon comportement, chose que contesta Ibn Hâdi, promettant quil allait y répondre en démontrant que cette nasîha est à lopposé, pleine dignorance, de passion, quelle est mensongère et de mauvais comportement.
Il les réfuta en disant que pour eux le salafi cest celui qui reste avec eux même si cest un moubtadi comme Hâni, ou même si cest un homme qui fréquente les lieux et gens de débauche comme un certain Abou Ayoub al maghrebi de Hollande.
Il réprimanda Abdoullah al Boukhâri en linterrogeant sur les causes de son silence sur Hâni Ibn Boureyk.
Il cita Arâfate et autres et dit quil allait prouver chacun de ses dires sur ces saâfiqah.
Il critiqua le fait quils refusent une critique détaillée sur des faits connus pour suivre des éloges généraux faux et faire du taqlîd. Et bien d'autres points que je n'ai pas cités.
Fin du résumé.
Je me suis vu contraint décrire ce résumé étant donné que les hizbis et maftounes francophones nont pas eu le courage de le faire comme ils le faisaient auparavant dés quun audio sortait contre al Hajoûri. À savoir que cheikh Mohammed Ibn Hâdi est considéré par eux comme faisant partie des grands savants salafis incontournables de cette époque vers qui il faut impérativement revenir. Mais étrangement cette fois-ci cette règle na plus lair effective.
والله المستعان
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