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Mohammed Ibn Hâdi sort de son silence

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  • Mohammed Ibn Hâdi sort de son silence

    الحمد لله الصلاة والسلام على رسول الله
    أما بعد


    Tous ceux qui ont suivi le cours de cette fitnah, qui a divisé les rangs des salafis dans le monde entier durant ces dix dernières années, avec équité, science et crainte d’Allâh, ont bien compris que tout ce soulèvement contre la da’wah de Dammâj ne fut basé que sur des fausses alliances en vue d’aboutir à un seul et même objectif; tout cela à la manière des hommes politiques.

    Ils se sont tous alliés les uns aux autres, se défendant les uns les autres, se soutenant les uns les autres, cachant mutuellement leurs erreurs et suivant la règle des ikhwan « on s’entraide dans ce dans quoi nous sommes d’accords et on s’excuse les uns les autres sur ce sur quoi nous divergeons ».
    Tous d’accords pour tenter de faire tomber la da’wah émanant de Dammâj et à sa tête cheikh Yahyâ al Hajoûri. Tout en renfermant maintes divergences internes, connaissant parfaitement les fautes les uns des autres et en parfaite connaissance de cause de ce qui leur fut scientifiquement reproché en religion, mais ils continuèrent à garder le silence par application de la fameuse règle (qui peut être vraie si elle est utilisée légitimement) "l’union fait la force".

    À savoir que cheikh Yahyâ et ses tullâb les conseillaient et les mettaient en garde contre certains individus (ces sa’âfiqah actuels) en vue d’éteindre cette fitnah et de garder les rangs soudés sur la vérité sur une da’wah unique bien que ceux-ci s’acharnaient à les défendre en toute injustice, en accusant les gens de Dammâj de dire du mal des savants et des salafis. Al ‘adani et son frère, al Wasâbi, al imam et son livre al ibânah et autres erreurs, ‘Arafâte, Hâni Ibn Boureyk, Moustafa Mabram, ‘Ali al Houdheyfi et bien d’autres parmi les hizbis et maftoûns du Yémen (et d’autres à l’étranger) ayant soutenu al ‘Adani dans sa fitnah.

    Puis, s’imaginant être parvenus à leurs fins, ils se mirent finalement à mettre en garde contre tous les macheikhs du Yémen, leur reprochant ce que les gens de Dammâj leur avaient déjà reproché, ce même pour quoi ils les défendaient.

    Puis vînt le tour d’autres intervenants qui à la base n’étaient pas concernés mais ont voulu soutenir fanatiquement cette hizbiyah à l’instar d’Ahmed Bazmoûl, Ousâmah al ‘Outeybi, Mâher al Qahtâni et peut-être d’autres qui finirent par avoir droit au délaissement et aux mises en garde par ceux qu'ils supportaient.

    Puis dernièrement la série des règlements de compte internes se poursuivit par la soudaine intervention officielle de cheikh Mohammed Ibn Hâdi, dont on entendait depuis certains temps des mises en garde en privé contre certains de ceux (comme ‘Arâfate et tout le groupe de ceux qui sont autour du docteur Rabî' al Madkhali) auxquels lui et d'autres savants de la sounnah furent auparavant conseillés de prendre garde et de ne pas prêter oreille aux mensonges et autres colportages, conseil qu’il refusa de suivre.

    Cheikh Mohammed Ibn Hâdi sortit dernièrement un long audio disant qu'il était temps pour lui de sortir de son silence (https://e.top4top.net/m_7189z0m41.m4a), dans lequel il cita certains faits et voulu dévoiler les actes de ce groupuscule qu’il nomma les «sa’âfiqah الصعافقة»
    (le sa’faq ou sa'foûq:sing; c’est celui qui se rend dans les marchés pour vendre les mains vides de marchandise avec lui et tente de se mêler aux ventes des autres pour en tirer quelque profit).

    Pour résumer, dans cet audio il dit qu’il compte faire une série d’allocutions dans son masjid dans lesquelles il dévoilera en détail les agissements malfaisants et autres conspirations de ces sa’âfiqah, un par un, qu’il qualifie de menteurs trompeurs et d’imposteurs.

    - Il dit que ces gens furent dévoilés par les messages qu’ils s’envoient (en privé apparemment) à travers les réseaux sociaux

    - Il commença par ‘Abbas Jawwânah (du Yémen, anciennement défenseur d’al ‘Adani et fauteur de troubles dans la da’wah), en commentant une de ses paroles où il fait part de son étonnement face à ceux qui défendent Mohammed Ibn Hâdi dans ses critiques sur «les sa’âfiqah» (étant donné que ‘Oubeyd al Jâbiri et autres défendent ces individus, et qu’il dit aux gens de ne pas être trompé par Mohammed ibn Hâdi et de ne pas prêter attention à ses paroles).

    De là Ibn Hâdi le réfuta en lui disant : pourquoi être surpris de ceux qui me défendent alors que je parle avec preuve, et parallèlement ne pas être surpris de ceux qui défendent Hâni Ibn Boureyk qui est sorti ouvertement contre le gouverneur?

    Il cita parmi ceux qui défendent Hâni Ibn Boureyk : Abdoullah adh Dhafîri ibn silfîq, qu’il qualifia de menteur en citant le fait que lui et ses alliés propagent que ‘Oubeyd et le docteur al Madkhali eux aussi défendent Ibn Boureyk alors que le docteur a tenu d’autres paroles connues qu’ils ne disent pas aux gens.

    Il dit que la dernière parole de ‘Oubeyd al Jâbiry sur Ibn Boureyk est fausse et que sa première parole était la bonne (lorsqu’il mit en garde et désavoua Ibn Boureyk).

    Il critiqua Nizâr ibn Hâchim as soûdâni en disant que ce dernier lui a écrit une nasîhah diffusée en publique décrite par adh Dhafîri comme étant véridique, scientifique et de bon comportement, chose que contesta Ibn Hâdi, promettant qu’il allait y répondre en démontrant que cette nasîha est à l’opposé, pleine d’ignorance, de passion, qu’elle est mensongère et de mauvais comportement.

    Il les réfuta en disant que pour eux le salafi c’est celui qui reste avec eux même si c’est un moubtadi’ comme Hâni, ou même si c’est un homme qui fréquente les lieux et gens de débauche comme un certain Abou Ayoub al maghrebi de Hollande.

    Il réprimanda ‘Abdoullah al Boukhâri en l’interrogeant sur les causes de son silence sur Hâni Ibn Boureyk.

    Il cita ‘Arâfate et autres et dit qu’il allait prouver chacun de ses dires sur ces sa’âfiqah.
    Il critiqua le fait qu’ils refusent une critique détaillée sur des faits connus pour suivre des éloges généraux faux et faire du taqlîd. Et bien d'autres points que je n'ai pas cités.
    Fin du résumé.

    Je me suis vu contraint d’écrire ce résumé étant donné que les hizbis et maftounes francophones n’ont pas eu le courage de le faire comme ils le faisaient auparavant dés qu’un audio sortait contre al Hajoûri. À savoir que cheikh Mohammed Ibn Hâdi est considéré par eux comme faisant partie des grands savants salafis incontournables de cette époque vers qui il faut impérativement revenir. Mais étrangement cette fois-ci cette règle n’a plus l’air effective.
    والله المستعان


  • #2
    Le frère Musa Millington a fait le commentaire suivant (par tweets) :

    « J'ai écouté l'audio [de Muhammad ibn Hâdî]. Je DÉFIE Spubs [l'association "Salafi Publications"] de Abu Hakeem Bilal, Moosa Richardson, Abu Khadeejah, les prêcheurs de MPubs et autres de traduire cela [l'audio].

    Hani Burayk est un KHARIJI, et [lui et] son comparse Arafât al-Muhammadi, qui a écrit la prétendue réfutation contre Cheikh Yahya, ont été nommés [par Muhammad ibn Hâdî]. Ô Spubs, quel est le jugement de prendre [nos infos] des menteurs ? Et où est votre défense du Manhaj contre les gens comme Hani Burayk et ceux qui le défendent comme Adh-Dhufayri et d'autres ? Pas un seul mot. On sait donc fort bien que ce n'est pas une question de principes avec vous, c'est "on coopère dans les questions sur lesquelles on est d'accord et on s'excuse dans les autres".

    Les gens pourraient trouver que je tweete beaucoup concernant Spubs mais ils doivent être dévoilés en raison de leur deux poids deux mesures. Ils disent "suivez le Jarh des savants et ne demandez pas de preuve", alors pourquoi ne suivent-ils pas le Jarh de Muhammad ibn Hâdî ? »

    À voir aussi concernant cet audio :
    « Le signe des gens de la Sunnah est qu'ils suivent les Salaf as-Sâlih et délaissent tout ce qui est innové et nouvellement introduit dans la religion. » – Imâm el Asbahâniy [m. 535 H]

    Commentaire


    • #3

      Commentaire du frère Mohammed as siwari حفظه الله intitulé:

      Mohammed Ibn Hâdi n’a rien apporté de nouveau

      J’ai écouté des paroles de cheikh Mohammed Ibn Hâdi al Madkhali dans lesquelles il parle sur un groupe de la clique du hizb d’al ‘adani al Barmaki.

      Je pensais qu’il allait citer des choses nouvelles n'ayant pas été dites par les gens de la Sounnah du Yémen, mais il n’a rien apporté de nouveau. Juste des paroles déjà dites mais en retard après que les salafis se soient déjà divisés en différents endroits à cause de ce groupuscule et au même moment où les gens de la Sounnah du Yémen ont déjà fini de dévoiler cette bande. Ils sont devenus inexistants, sans valeur ni aucun poids au sein des gens, pas de science et pas de sagesse.

      Ce qu’il cita de ce groupuscule n'équivaut pas à 1% des délits qu’ils ont commis. Des actes d’une telle laideur que même des gens de la masse se seraient abstenus de les faire.

      Cheikh Yahyâ al Hajoûri ainsi que ses tullâb ont déjà dévoilé leur cas depuis plusieurs années alors que vous les défendiez encore et que vous refusiez les critiques détaillées claires et limpides avec preuve à l’encontre de ceux là que vous nommez aujourd’hui sa’âfiqah soufaha (faibles d’esprit) mouharichîn (semeur de discorde entre les gens).
      Subhânallâh voilà que vous vous mettez à dire exactement ce que disaient cheikh Yahyâ et ses tullâb sur ces menteurs semeurs de zizanie.

      Et je crains - et le savoir revient à Allâh- que vous ne marchiez sur la règle de ne parler sur l’individu qu’une fois que vous avez constaté ses erreurs par vous mêmes, et que vous rejetez les informations provenant des gens de confiance et justes au sujet de ces sa’âfiqah.

      Pourquoi ce n’est qu'aujourd’hui que viennent ces paroles sur eux, alors que cela a toujours été leur méthode, depuis le début de leur fitnah contre la da’wah salafiyah?

      Est-ce du fait qu’ils ont parlé sur Mohammed Ibn Hâdi, qu’ils ont délaissé Mohammed Ibn Hâdi et qu’ils ont mis en garde contre Mohammed Ibn Hâdi, alors il s’est mis à parler sur eux pour défendre sa personne?

      Pour finir:

      Je dis aux frères de la Sounnah, continuez sur ce sur quoi vous êtes comme bien et comme guidée, ne vous préoccupez pas de leur insurrection les uns contre les autres. Il y a en cela une leçon à tirer qu’ils sont en train de revenir à ce que vous disiez et que vous avez déjà clarifié. Qu’ils ne font que dire ce que vous avez déjà dit et qu’ils n’ont rien de nouveau. Donc vous êtes par la Louange d’Allâh les précurseurs dans cette mise en garde contre le mal et à connaître les gens du faux par la Grâce d’Allâh. Et cela fait partie de votre distinction ô vous gens de la Sounnah. Fin (original en arabe diffusé sur sa chaine télégram https://t.me/alsuwari)

      والحمد لله رب العالمين

      Et Cheikh Abou Bilâl al Hadrami حفظه الله lorsqu’il fut informé des paroles de Mohammed Ibn Hâdi il dit (en résumé et dans le sens) :

      S’il est sincère dans ce qu’il dit, cela doit le contraindre à faire tawbah d’avoir défendu et soutenu et cru ces gens au point d’en avoir causé et semé la fitnah et la division et de s’en être pris aux gens de Dammâj injustement alors qu’ils les avaient dévoilés pour les mêmes erreurs et que tout ce groupe étaient des alliés d’al ‘Adani. Mais le problème c’est qu’il y a des gens trop rongés par la jalousie et l’orgueil qui refusent d’attribuer le mérite aux ayants droit, ils veulent que les choses leur soient exclusivement attribuées et que tout le mérite leur revienne. (Ils n’arrivent ni à admettre ni à dire qu’al Hajoûri les avait avertis et les avait conseillés et avait vu juste sur ces gens-là). Fin

      Et constatez comment 'Oubeyd al Jâbiri est encore amené à défendre de mauvaises personnes et est incapable de réfuter scientifiquement les critiques détaillées contre elles. Juste des tezkiyahs générales et des paroles disant de ne pas prêter attention au critiqueur. Si les imams du hadîth avaient été sur cette voie-là, cela aurait été une cause de perte de toute notion d'authenticité ou de faiblesse des hadîths rapportés du prophète صلى الله عليه وسلم vu que tout jarh moufassar aurait pu être rejeté en toute facilité devant un ta'dîl moujmal (et pour ne pas dire injuste).

      Commentaire


      • #4
        Oui nous avons pris note depuis bien longtemps


        بسم الله الرحمن الرحيم
        Le frère Souleyman Bébel (al Gwadeloupi) élève de Ibn Hâdi, a écrit et diffusé sur sa chaine télégram ces quelques paroles suite à ce que subit son cheikh actuellement comme "injustice":

        Il dit:
        Prends note !

        Chez certains, celui qui était un savant hier, ne l'est plus aujourd'hui, et celui qui n'était pas un savant hier, l'est aujourd'hui.
        Comment cela ?
        Celui-là a parlé sur nous donc sa science l'a quitté d'un coup, et celui-ci nous a défendu donc il a reçu la science d'un coup.

        Qu'Allah nous préserve du suivi des passions et de la versatilité dans Sa religion ! Amîn !
        Je dis:
        Aujourd'hui encore il dit des paroles véridiques qui appuient ce que je lui ai déjà fait savoir dans mon conseil, que ce qu'il reproche à ses opposants correspond à ce que nos reprochons à ceux qui ont injustement attaqué cette da'wah et qu'll se défend de la même manière que nous nous défendons.

        Nous allons faire savoir à Souleyman, s'il ne le sait pas déjà, ce que disait Cheikh Rabî' à propos de cheikh Yahya auparavant. Prends note:

        Il disait qu'il était un savant d'immense mérite, ajouté à cela d'autres éloges sur lui et sur dammâj.
        Audio
        Pour ensuite en arriver à dire qu'il n'est qu'un simple étudiant, voire pire dans son livre al isâbah il dit qu'il n'est qu'un petit étudiant.

        Je laisse donc Souleymân au pied du mur, s'il est sincère dans ses paroles et osera admettre que Cheikh Rabî' "suit ses passions et fait preuve de versatilité en Religion"(ou bien peut-être qu'une fois de plus il sera tout excusé comme à leur habitude, que cela n'est valable que pour les autres plus petits) ou s'il ne s'agit que d'une parole émanant du fanatisme pour défendre sa position.

        Si tel est le cas alors c'est que Souleymân est bel est bien comme tous les autres défenseurs de Ibn Hâdi qui ne cessent leurs diffamations contre al Hajoûri, c'est-à-dire un fraudeur comme Allâh les a décrits dans Son Livre :

        وَيْلٌ لِلْمُطَفِّفِينَ (1) الَّذِينَ إِذَا اكْتَالُوا عَلَى النَّاسِ يَسْتَوْفُونَ (2) وَإِذَا كَالُوهُمْ أَوْ وَزَنُوهُمْ يُخْسِرُونَ
        Malheur aux fraudeurs, qui lorsqu'ils font mesurer pour eux mêmes exigent la pleine mesure et qui lorsqu'eux mêmes mesurent ou pésent pour les autres, causent leur perte (Les fraudeurs v1 à 3)


        Ceux-là qui réclament pour eux ce qu'ils refusent aux autres. Et je rappelle encore à tous ceux qui ont adopté la même position, car bien qu'ils aient raison dans le fond (car on pourrait dire pas mal de chose à leur encontre également dans leurs agissements) tant qu'ils n'accepteront pas la vérité depuis sa source et qu'ils ne se repentiront pas d'avoir secouru le faux contre la da'wah salafiyah au Yémen nous craignons pour eux qu'ils ne soient privés du secours d'Allâh qu'ils attendent et que ces sa'âfiqah finissent par leur rendre la tâche bien difficile.
        ذَٰلِكَ بِمَا قَدَّمَتْ أَيْدِيكُمْ وَأَنَّ اللَّهَ لَيْسَ بِظَلَّامٍ لِلْعَبِيدِ
        Cela, à cause de ce que vos mains ont accompli (antérieurement)!» Car Allah ne fait point de tort aux serviteurs.
        (Âl Imran, v 182)

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